Originaire de la région de Montréal, Pierre Robinette a travaillé pendant plus de deux décennies comme agent d’intervention dans des centres jeunesse, en plus d’avoir pratiqué le métier de garde du corps pendant une quinzaine d’années. Approché régulièrement par des femmes à la recherche de bonnes techniques d’autodéfense ou par des enfants victimes d’intimidation en quête d’une certaine confiance en soi, Pierre offre depuis plus de 30 ans des formations pour accroitre l’autonomie en autoprotection.
Déménagé en 2017 à Magog, après avoir fait l’achat d’un gite touristique, M. Robinette a eu envie de relever un nouveau défi pendant la pandémie. Une fois le gite vendu, il a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale en créant l’Académie Ényo, à Sherbrooke.
« J’avais besoin d’un nouveau projet et j’ai beaucoup d’amis dans le milieu de la psychologie qui me disaient que le besoin était bien présent. Je me suis donc penché sur mon plan d’affaires et j’ai fait mes devoirs. J’ai vite réalisé que, selon les statistiques, le taux de violence faite aux femmes aujourd’hui ressemble vraiment à celui d’il y a trente ans. Malheureusement, la situation n’a pas changé. »
Pierre Robinette, fondateur de l’Académie Ényo
Situé sur la rue Galt Ouest, dans un local de 1200 pieds carrés, l’Académie Ényo accueille sa clientèle depuis le 15 septembre dernier. Des ateliers gratuits et des journées portes ouvertes pour mieux comprendre le concept, la philosophie et les services de l’Académie ont eu lieu au cours des deux derniers mois. C’est que Pierre Robinette insiste; il ne s’agit pas de cours d’arts martiaux ni de techniques pour faire des combats.
« Notre première préoccupation, c’est d’être capable de se libérer de son agresseur et de s’enfuir. Nous ne sommes pas là pour montrer aux gens comment se battre. Notre formation se concentre sur la prévention et sur l’autodéfense de rue. On offre un outil davantage qu’un produit. » L’estime de soi, la présence d’esprit et la réaction en situation de peur ou de stress sont également des éléments abordés lors des formations.
Notons que l’Académie fournit le matériel nécessaire pour la formation. Des ateliers à l’extérieur qui permettent des simulations d’agression sont aussi offerts, dans le but de se rapprocher de la réalité.
Si les services de l’Académie s’adressent principalement aux femmes et aux enfants, les hommes y sont également les bienvenus. Des formations plus spécialisées (à la carte) peuvent aussi être offertes. Enfin, mentionnons que des groupes et des organismes de tous genres peuvent faire appel aux services de l’Académie Ényo.
Pour en savoir plus, rendez-vous au academieenyo.com.
Originaire de la région de Montréal, Pierre Robinette a travaillé pendant plus de deux décennies comme agent d’intervention dans des centres jeunesse, en plus d’avoir pratiqué le métier de garde du corps pendant une quinzaine d’années. Approché régulièrement par des femmes à la recherche de bonnes techniques d’autodéfense ou par des enfants victimes d’intimidation en quête d’une certaine confiance en soi, Pierre offre depuis plus de 30 ans des formations pour accroitre l’autonomie en autoprotection.
Déménagé en 2017 à Magog, après avoir fait l’achat d’un gite touristique, M. Robinette a eu envie de relever un nouveau défi pendant la pandémie. Une fois le gite vendu, il a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale en créant l’Académie Ényo, à Sherbrooke.
« J’avais besoin d’un nouveau projet et j’ai beaucoup d’amis dans le milieu de la psychologie qui me disaient que le besoin était bien présent. Je me suis donc penché sur mon plan d’affaires et j’ai fait mes devoirs. J’ai vite réalisé que, selon les statistiques, le taux de violence faite aux femmes aujourd’hui ressemble vraiment à celui d’il y a trente ans. Malheureusement, la situation n’a pas changé. »
Pierre Robinette, fondateur de l’Académie Ényo
Situé sur la rue Galt Ouest, dans un local de 1200 pieds carrés, l’Académie Ényo accueille sa clientèle depuis le 15 septembre dernier. Des ateliers gratuits et des journées portes ouvertes pour mieux comprendre le concept, la philosophie et les services de l’Académie ont eu lieu au cours des deux derniers mois. C’est que Pierre Robinette insiste; il ne s’agit pas de cours d’arts martiaux ni de techniques pour faire des combats.
« Notre première préoccupation, c’est d’être capable de se libérer de son agresseur et de s’enfuir. Nous ne sommes pas là pour montrer aux gens comment se battre. Notre formation se concentre sur la prévention et sur l’autodéfense de rue. On offre un outil davantage qu’un produit. » L’estime de soi, la présence d’esprit et la réaction en situation de peur ou de stress sont également des éléments abordés lors des formations.
Notons que l’Académie fournit le matériel nécessaire pour la formation. Des ateliers à l’extérieur qui permettent des simulations d’agression sont aussi offerts, dans le but de se rapprocher de la réalité.
Si les services de l’Académie s’adressent principalement aux femmes et aux enfants, les hommes y sont également les bienvenus. Des formations plus spécialisées (à la carte) peuvent aussi être offertes. Enfin, mentionnons que des groupes et des organismes de tous genres peuvent faire appel aux services de l’Académie Ényo.
Pour en savoir plus, rendez-vous au academieenyo.com.